Yvan, des Amitiés kurdes de Bretagne, a rejoint la délégation formée des différentes composantes de la Coordination nationale Solidarité Kurdistan (CNSKCoordination nationale Solidarité Kurdistan :
• Alternative Libertaire
• Amis du Peuple kurde en Alsace
• Amitiés Corse Kurdistan
• Amitiés kurdes de Bretagne (AKB)
• Amitiés kurdes de Lyon & Rhône Alpes
• Association iséroise des Amis des Kurdes (AIAK)
• Association Solidarité France Kurdistan
• Centre d’Information du Kurdistan (CIK)
• Collectif Azadi Kurdistan Vendée
• Conseil démocratique kurde de France (CDKF)
• Ensemble
• Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP)
• Mouvement de la Jeunesse communiste de France (MJCF)
• Mouvement de la Paix
• Mouvement des Femmes kurdes en France (TJK-F)
• Nouveau Parti anticapitaliste (NPA)
• Parti communiste français (PCF)
• Réseau Sortir du Colonialisme
• Solidarité et Liberté Provence
• Union démocratique bretonne - Unvaniezh Demokratel Breizh (UDB)
• Union syndicale Solidaire
More) chargée d’apporter au peuple kurde, à ses élu(e)s et à ses organisations démocratiques le soutien des militants des organisations de la CNSKCoordination nationale Solidarité Kurdistan :
• Alternative Libertaire
• Amis du Peuple kurde en Alsace
• Amitiés Corse Kurdistan
• Amitiés kurdes de Bretagne (AKB)
• Amitiés kurdes de Lyon & Rhône Alpes
• Association iséroise des Amis des Kurdes (AIAK)
• Association Solidarité France Kurdistan
• Centre d’Information du Kurdistan (CIK)
• Collectif Azadi Kurdistan Vendée
• Conseil démocratique kurde de France (CDKF)
• Ensemble
• Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP)
• Mouvement de la Jeunesse communiste de France (MJCF)
• Mouvement de la Paix
• Mouvement des Femmes kurdes en France (TJK-F)
• Nouveau Parti anticapitaliste (NPA)
• Parti communiste français (PCF)
• Réseau Sortir du Colonialisme
• Solidarité et Liberté Provence
• Union démocratique bretonne - Unvaniezh Demokratel Breizh (UDB)
• Union syndicale Solidaire
More qui luttent aux côtés des Kurdes pour la défense de leurs droits.
Il a sympathisé avec les militants kurdes, qui forment quotidiennement une chaine humaine près du village de Mahser situé à un petit kilomètre de la frontière, face à Kobanê et ce sous l’œil impassible des militaires turcs campant à moins de 300 mètres. lls organisent aussi des rondes jour et nuit pour s’approcher de la frontière.
De cet endroit, on peut, à la jumelle, apercevoir la progression des combattants des YPGUnités de protection populaire (Yekîneyên Parastina Gel), branche armée du PYD, d’environ 40 000 hommes. More et YPJUnités de Protection des Femmes (Yekîneyên Parastina Jin), branche armée du PYD. More qui reprennent du terrain. Ils sont aidés par des peshmergas venus du Kurdistan irakien et par quelques unités de l’ASL (armée libre syrienne). A noter à ce sujet qu’il s’agit d’unités déjà intégrées à la défense de Kobanê, bien avant l’arrivée des troupes du prétendu « Etat islamique » (EIPrétendu « Etat islamique » groupe terroriste djihadiste (anciennement « Etat islamique en Irak et au Levant »). More).
Soutien des imams kurdes
Au milieu de la foule kurde, scandant des slogans et entonnant des chants de la guérilla et dans laquelle se trouvent des militants turcs progressistes, cinq imams venus de Mardin se sont mêlés à la chaine humaine, montrant de façon spectaculaire le soutien des musulmans à la lutte contre l’EIPrétendu « Etat islamique » groupe terroriste djihadiste (anciennement « Etat islamique en Irak et au Levant »). More et leur sympathie pour les combattants des YPGUnités de protection populaire (Yekîneyên Parastina Gel), branche armée du PYD, d’environ 40 000 hommes. More et YPJUnités de Protection des Femmes (Yekîneyên Parastina Jin), branche armée du PYD. More. Ils se sont également rendus il y a quelques semaines, avec une autre délégation de douze imams kurdes de Turquie, à Lalesh, centre spirituel des Yézidis dans le Kurdistan d’Irak, afin de témoigner de leur solidarité comme “alims” (connaisseurs de l’Islam) et de dénoncer les exactions des fanatiques de l’EIPrétendu « Etat islamique » groupe terroriste djihadiste (anciennement « Etat islamique en Irak et au Levant »). More. A Suruç, la mosquée est, comme la ville, pleinement mobilisée pour venir en aide aux réfugiés qui viennent du RojavaKurdistan occidental (Kurdistan de Syrie), divisé en trois cantons : Cizirê (le canton le plus peuplé comprenant notamment la ville de Qamişlo), Kobanê et Efrin. More tout proche. Elle apporte sa contribution à l’hébergement et au service des repas.
Appel à l’aide de Suruç
La délégation a été reçue par la municipalité HDPParti de la Démocratie des Peuples (Halklarin Demokratik Partisi). More de Suruç (Pîrsûs en kurde) ville de 100 000 habitants située dans le district du même nom (province d’Urfa) à 15 km de Kobanê. Zuhal Ekmez, co-maire de Suruç, n’a pas caché son émotion devant toutes les marques de sympathie qui affluent du monde entier :
c’est très important de soutenir le moral de toute la population qui souffre et qui lutte héroïquement. C’est une des raisons qui nous fait espérer que la victoire est proche. Mais nous devons faire face à une situation extrêmement difficile créée par l’afflux incessant des réfugiés. Nous sommes en première ligne et nous avons dû, avec le HDPParti de la Démocratie des Peuples (Halklarin Demokratik Partisi). More et le Croissant rouge, organiser les premiers secours et palier à la défaillance de l’Etat turc. Aujourd’hui encore le Gouvernement AKPAdalet ve Kalkınma Partisi (Parti de la Justice et du Développement), parti islamiste aux mains de l’autocrate Erdogan. More ne gère que deux camps dans le district de Suruç, soit environ 6 000 personnes sur près de 50 000. Nous espérons que sa prise en charge par l’intermédiaire de l’AFAD (organisation étatique) va monter en puissance.
Yvan fait route vers le RojavaKurdistan occidental (Kurdistan de Syrie), divisé en trois cantons : Cizirê (le canton le plus peuplé comprenant notamment la ville de Qamişlo), Kobanê et Efrin. More, en passant par le Kurdistan d’Irak. Il sera bientôt à Qamishlo.
André Métayer