Le rapporteur de l’ONG, Emma Sinclair-Webb, a estimé que la décision de fermeture du DTP devait impérativement engager le gouvernement turc dans un processus de réforme de la Constitution et de la disposition relative aux partis politiques afin de garantir et protéger la participation politique, rappelant qu’il s’agit là de la 25ème dissolution d’un parti politique.
“Le DTP a été victime de lois qui ne sont pas conformes aux standards des droits de l’Homme universels” a-t-elle annoncé, appelant le gouvernement turc a réagir expressément pour empêcher de futurs dissolutions.
(Bersiv)