Après les interpellations de 10 Kurdes et 96 heures de garde à vue, 3 remises en liberté et 7 mises en détention
Sept des dix militants kurdes interpellés vendredi 26 février[[Sur les 8 kurdes interpellés à Marseille, trois avaient déjà été relâchés au cours du week-end.]] à Marseille, Montpellier, Draguignan et Grenoble, ont été transférés à Paris dans le cadre de l’enquête confiée à la Sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire ; après 96 heures de garde à vue ils ont été présentés au parquet et placés en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention qui a suivi les réquisitions du Parquet ; ils sont répartis, loin de leur famille, dans différentes prisons de la région parisienne[[Maisons […]