Dans la soirée du 13 mars 2018 alors que des Kurdes manifestaient à Paris pour protester contre l’invasion turque de la région d’Afrin en Syrie, ils ont été violemment réprimé·e·s par la police, des blessé·e·s sont à déplorer.
La CNSKCoordination nationale Solidarité Kurdistan :
• Alternative Libertaire
• Amis du Peuple kurde en Alsace
• Amitiés Corse Kurdistan
• Amitiés kurdes de Bretagne (AKB)
• Amitiés kurdes de Lyon & Rhône Alpes
• Association iséroise des Amis des Kurdes (AIAK)
• Association Solidarité France Kurdistan
• Centre d’Information du Kurdistan (CIK)
• Collectif Azadi Kurdistan Vendée
• Conseil démocratique kurde de France (CDKF)
• Ensemble
• Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP)
• Mouvement de la Jeunesse communiste de France (MJCF)
• Mouvement de la Paix
• Mouvement des Femmes kurdes en France (TJK-F)
• Nouveau Parti anticapitaliste (NPA)
• Parti communiste français (PCF)
• Réseau Sortir du Colonialisme
• Solidarité et Liberté Provence
• Union démocratique bretonne - Unvaniezh Demokratel Breizh (UDB)
• Union syndicale Solidaire
More s’indigne de tels agissements à l’encontre de femmes et d’hommes dont nombre de parents ou de proches sont aujourd’hui encerclés dans la ville d’Afrin et à la merci de l’armée turque et des mercenaires djihadistes enrôlés par Erdoğan. Outre une grave crise humanitaire, le risque de massacres de populations civiles est à craindre.
Les Kurdes, fer de lance de la lutte contre Daesh, ne doivent pas être aujourd’hui abandonné·e·s par la communauté internationale. La France a un rôle à jouer pour faire cesser l’agression turque, elle en a les moyens.
La voix des Kurdes doit être entendue et non réprimée.
Paris le 14 mars 2018