Mehmet Ulker et Celil Akdogan, respectivement Président de la Fédération des Associations Kurdes en France (FEYKA) et du Centre culturel kurde Ahmet Kaya, ainsi que les trésoriers de ces deux associations, ont été libérés après une garde à vue, sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux.
Nous demandons l’arrêt du harcèlement judiciaire qui frappe les associations kurdes de France et qui nuit à leur réputation, la libération immédiate des vingt militants kurdes en détention provisoire en France depuis plusieurs mois et l’arrêt des poursuites contre les personnes en liberté conditionnelle qui restent néanmoins mises en examen.
Les Amitiés kurdes de Bretagne