Jacques Gaillot, évêque de Parténia, se fait l’avocat des grévistes de la faim auprès du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan :
ce sont des frères pour moi. Ils font partie de ma famille. Leur souffrance me fait souffrir. Pour eux je prête ma voix. Je m’adresse à vous en homme de paix. Je sais que la paix fait peur. Il y a un risque à faire la paix. Mais le moment n’est-il pas venu de tirer Öcalan de son isolement et d’entrer en dialogue avec lui pour ouvrir le chemin de la paix et régler enfin la question kurde? Je crois que la paix est possible. Elle est possible maintenant. Ce serait un grand honneur pour la Turquie.