Erdoğan aime Gül (« rose » en langue turque), mais n’en supporte pas les épines (Zaman)
Les commémorations de la fête de la République turque et la grève de la faim de prisonniers proches du PKK ont illustré à nouveau les divergences qui existent entre le président Gül (président de la république de Turquie) et (son) Premier ministre Erdogan. Pour les politologues turcs, cette division pourrait s’approfondir lors du débat sur le système présidentiel. (Zaman). RT Erdoğan, qui ne se cache pas de vouloir faire voter une Constitution sur mesure, en vue d’obtenir tous les pouvoirs, une fois élu Président de la République au suffrage universel, va sans doute trouver sur sa route un adversaire de […]