“Rencontres de la paix à Aubagne” avec une députée kurde : la police politique française siffle la fin de partie.
Aux ordres de qui le juge Thierry Fragnoli, “vice président chargé de l’instruction au Tribunal de grande instance de Paris au pôle anti-terroriste”, et la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) obéissent-ils quand ils décident d’arrêter des militants kurdes? Il n’y a pas de réponse de la DCRI dont les missions sont couvertes par le secret défense. Il n’y en a pas non plus de la part du juge “anti terroriste” qui, interviewé le 11/11/2010 par “Objectif magistrat”, a néanmoins avoué son intérêt pour les dossiers “relatifs au PKK” : “ce sont des dossiers très intéressants qui impliquent ce que […]