Assassinat de Rojbîn, Sakine et Leyla : l’affaire est relancée
Omer Güney n’était que le bras armé d’une véritable entreprise des services secrets turcs destinée à assassiner des militantes kurdes en Europe. On ne peut pas laisser commettre des assassinats politiques en France et fermer les yeux, a déclaré Me Antoine Comte, au nom ses confrères Jean-Louis Malterre, Sylvie Boitel, Virginie Dusen et Jan Fermon, avocats des familles de nos trois amies kurdes assassinées en plein Paris le 9 janvier 2013. Le dépôt de plainte avec constitution de partie civile vise notamment à déterminer qui sont les commanditaires. Faire toute la lumière Depuis cette nuit tragique, de nombreux appels s’étaient […]